J’écris ces mots sans savoir si je serais en vie au moment où vous les lirez, (car je suis malade de votre jeu a l’aveugle, et si ça continu, je ne tiendrai pas longtemps) ou encore s’ils tomberont dans de bonnes oreilles.

Il y a de cela plus d’un  demi-siècle, que des hommes et des femmes de notre pays la Guinée se levaient comme un seul homme pour dire « NON » a la proposition de la communauté française qui nous avait été faite. Cinquante-sept ans, pour être plus précis, jour pour jour, la Guinée a connu une expérience de plus amères, elle a subit et continue de subir les prises d’otages de toutes sortes par ses propres fils, et aujourd’hui encore, plus que jamais ma belle Guinée se retrouve dans une impasse absolue, qui va au-delà de l’espoir qu’un jour, ce beau pays verra le bonheur qu’il mérite, et  que ce bonheur lui luira sous toutes ses couleurs  sans jamais s’interrompre.

L’histoire de la Guinée est très récente, sa population quasi jeune, et sa Démocratie, en phase embryonnaire. Notre glorieux passé, est le fruit du combat collectif que tous les fils du pays ont bien voulu honorer de leur lien de nationalité, vis-à-vis de la mère patrie. Ici, je me dois tout d’abord, de féliciter tous ceux, et toutes celles qui ont consacré leur vies, et qui continuent à lutter pour l’instauration de l’Etat de droit et des libertés fondamentales, mais surtout pour la construction d’une démocratie de confiance, durable et participative en République de Guinée.

Il est souvent de la fierté de tout Guinéen de présenter la Guinée comme le château d’eau de l’Afrique de l’Ouest, ou encore comme un scandale géologiques, tout en oubliant que la véritable richesse d’un pays repose sur le potentiel humain, comme le dirait Jean Bodin, « il n’ya de richesse que d’Hommes », et en dépit de la minceur  de ce  potentiel qui reste le seul et l’ unique moteur au développement, la Guinée s’enlise, et va de vague en vague, jusqu'à ce que l’espoir pour un future radieux s’éclipse, et du coup la panique devient l’unique modératrice des activités au quotidien, ce qui inquiète nombres de Guinéens, avec des questions qui  pour la plus part du temps sont restées sans réponses concrètes, ou tout au moins, mal répondues.

Mais, si on ne change pas la Guinée, la Guinée ne nous changera pas non plus. Et ne me dites surtout pas que c’est ce que vous entrain de faire, c’est tout sauf ça.

Mes chers Messieurs, avec un  programme cohérent et structuré de développement socio- économique, nous pourrons quant nous voudront, faire décoller la Guinée qui est pendant longtemps restée  dans une stagnation indescriptible pour ne pas dire un recul considérable.

La lecture faite du bilan de gestion sur la Guinée, au cours de cette dernière décade est scandaleuse, et tend à ne pas permettre l’essor économique de se hisser sous les nuages ténébreux pour qu’enfin se pointe à l’horizon un avenir prometteur, et radieux.

La rédaction de cette missive, s’inscrit dans le cadre de participer en ma qualité de citoyen au processus d’instauration d’une véritable démocratie, mais surtout d’apporter ma part de lumière pour apaiser les tensions de toutes sortes, pour qu’enfin vivent des Guinéens dans une Guinée qui respire de tous ses poumons.

Excellence Monsieur le Président de la République,

Honorables Députés à l’Assemblée Nationale,

Distingués Membres du Gouvernement,

Présidents et Membres des partis politiques,

Chers Imams et Archevêques,

Chers Tous,

Cette lettre vous est adressée à tous, sans exclusion, pour vous inviter à entreprendre des initiatives de paix, d’union et de progrès. Car chacun en ce qui le concerne, est responsable de la tourmente politique qui traine notre cher pays depuis belles lurettes. De même que chacun pour sa part, peut jouer un rôle majeur dans l’édification d’une Guinée nouvelle et émergeante, nous devons tous, être des acteurs au changement tant souhaité, cet engagement obligatoire, devrait nous éviter d’être de simples observateurs à la destruction des valeurs pour lesquelles nos ancêtres se sont battus corps et âmes au prix de leur sang, pour en donner une signification notoire.

Depuis un certains temps, plus précisément en 2010, la Guinée est témoin de dérives tant politiques qu’économiques, et le tissu social subit une déchirure qui, semble-t-il inciturable. L’instabilité économique a haut risque, appuyée par une impasse politique sordide, et qui n’a que trop duré, laisse la Guinée a la merci de la communauté internationale qui n’est qu’observatrice, et qui, naturellement n’apporte nulle pierre à la construction de notre pays.

L’espoir qui s’est esquissé au lendemain de notre indépendance et qui, plus ou moins fut entretenu au cours des différents régimes qui se sont succédé en Guinée, est aujourd’hui brisé à l’image des béquilles d’un aveugle.

Ces images qui circulent sur la toile, ne font pas plaisir, quant on sait qu’elles proviennent du pays, et que ce ne sont là que de Guinéens qui se battent et qui s’entre tuent, sans jamais savoir pourquoi, les discours scandaleux, irresponsables, et divisionnistes que prêche la classe politique, sont tout sauf rassurant. Les violations récidivistes sur la législation Guinéenne, de parts et d’autres (surtout par le pouvoir en place), enfoncent le pays dans une anarchie totale, et dans une guéguerre interminable. C’est ce qui d’ailleurs justifie l’émission de ce cri contenu dans cette dépêche.

Honorables Députés.

De quoi êtes-vous forts, pour couter aussi chère, à un pays économiquement inexistant et qui, de surcroit est l’un des pays les plus pauvres de la planète ?

De quelle audace, tenez-vous à rouler des grosses cylindrées, qui ne reflètent point le niveau de vie de vos mandants ?

Ne voyez-vous pas que vous êtes des cadres budgétivores ?

Est-cela, que vous appeler sauver la Guinée ?

Votre « secours » nous a couté énormément, la Guinée vous observe dans l’impuissance de se mettre a l’abri des dangers qui vous cortègent. Mais elle est convaincue que nul ne restera eternel, tout passe, sauf  elle. Et elle restera et demeurera jusqu'à l’heure que Dieu voudra.

 Même en Grèce, la où la démocratie tient ses débuts, la « Boulé » n’aurait pas couté aussi chère a l’Etat que vous ne l’avez été.

De passage, je me permets d’ouvrir une brèche, sur les retroquements entre certains de nos cadres à l’Assemblée Nationale, et certains Diplomates accrédités en Guinée.

Je voudrais dire qu’on ne s’attaque pas à un diplomate plénipotentiaire, et qui est représentant d’une super puissance, car l’égalité entre les Etats, reste un idéal formulé dans une théorie inouïe et introuvable. L’Afghanistan vous en dira plus.

Dans le même élan, un cadre du parlement Guinéen, dont je préfère ici, taire le nom, puisque je n’entends pas faire de publicité gratuite. D’ailleurs vous n’en avez pas besoin, car ce que vous êtes fait parler de vous jusqu'à l’autre bout du monde. Il se permet de publier des informations erronées, et dépourvues de toutes honnêtetés intellectuelles (le discours du Président Obama au Caire, s’est axé essentiellement et uniquement, au maintien de la paix dans le monde en général, et dans la sous région du Moyen Orient en particulier. Aussi sur l’appel des Etats Unis aux pays de la région, à tenir la paix et à combattre avec fermeté la nouvelle forme de guerre qu’est le terrorisme.

Sans vouloir vous enseigner, le passage selon que : « l’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts mais d’institutions fortes » fut belle et bien prononcé par le Président Obama, mais seulement lors de sa visite au Ghana en 2012 sauf erreur de ma part), une façon pour moi, de vous dire qu’on ne peut prétendre construire un pays dans l’ignorance, le mensonge, et la délinquance intellectuelle.

Le discours politique en Guinée, doit être recadré, et c’est dans l’intérêt de tous, il est inconcevable de faire partir un Président démocratiquement élu (même si ces élections ont été entachées de fraudes), ce qui reste soutenable c’est la volonté des parties prenantes à participer légalement, a la construction évolutive de ce beau pays qui a déjà été trop affaibli par certains de ses fils.

Allez dans la voix de la légalité, car le consensus n’arrange que vous, et fortifient vos intérêts personnels, avides et insatisfaisables. Si vous avez foi en la loi de votre pays, notre pays, faites la appliquer. Je ne comprends pas qu’un simple accord, (accords du 3 Juillet 2013) puisse prévaloir sur la constitution, la loi suprême du pays. Le code électoral est mis de coté, ainsi que l’ensemble des instruments juridiques relevant du droit domestique, disponibles

Pour le maintien d’une Guinée constitutionnelle, heureuse, vigoureuse, et saine, mais c’est plutôt l’heure du consensus, l’heure de la mafia, mais surtout l’heure de la trahison du peuple par le peuple.

Comment peut-on donner du crédit à un accord à caractère non opposable, quant on s’en tape de la véritable loi à caractère coercitif, général, impersonnel et imprescriptible ?

Chers politiques.

Il me semble qu’il serait important, que vous changiez la donne, parce qu’avec cette allure on risque de se retrouver dans un désert d’hommes, ou dans un pays sans avenir car, qui dit avenir, dit JEUNESSE. Ce n’est pas possible de sacrifier l’avenir de toute une nation de façon banale.

En effet, pour la première fois dans l’histoire de notre pays, la rentrée  des classes a connu un retard qui indiscutablement nous rattrapera et nous ferra des soucis difficiles à gérer. Je comprends aisément que ce retard est dû à la propagation rapide, et avec une proportion inquiétante de l’épidémie hémorragique a virus Ébola, et pour des mesures de sécurité, la justification reste valable.

Mais, comment a-t-on pu, soudainement renverser la tendance, et se retrouver dans des marches dit-on pacifiques, rassemblant plus d’une centaine de personnes dont l’âge varie entre 12 et 40 ans (voire plus parfois) ? 

Je rappelle, que ce sont ces mêmes enfants qui se sont vus empêcher d’aller à l’école a temps, sous prétexte que la communication du  virus Ébola serait à la vitesse 3G.

Ebola, puisqu’on en parle, depuis sa détection en Guinée, d’abord en Décembre 2013, puis en Mars 2014, a fait plus d’une victime et ne semble pas se cicatriser. Cette cacophonie autour de ce point essentiel d’une importance majeure, et  d’une portée imminente, est la traduction manifeste, aussi bien du pouvoir en place, que de l’opposition républicaine à mettre leurs intérêts personnels en avant.

Des deux cotes, il ya eu dérapages : la dernière rentrée de Monsieur le Président de la République de l’étranger, a fait l’objet d’une mobilisation grandiose des militants et sympathisants du RPG Arc-en-ciel.

N’y avait-il pas Ebola ?

N’est-il pas plus facile de communiquer un virus aussi dangereux qu’Ebola au sein d’une masse en dehors de tout control, que de le cadrer dans les enceintes des différents établissements scolaires et universitaires ?

Soyons sincère a cette Guinée, qui saigne, et qui de façon incessante continuer de pleurer. Vous venez de prouver par vos actes posés, et par vos discours incitateurs prononcés, que vous pouvez étouffée le système éducatif Guinéen, et par la même occasion, participé à l’entretien d’une population ignorante, désœuvrée et sans repère.

De l’autre coté, l’opposition s’efforce à emboiter le pas destructeur de la mouvance présidentielle. En dépit de toutes les allégations que vous faites au RPG Arc-en-ciel, vous aussi, vous êtes à l’initiative de protestations, et de mobilisations sans précédents pour faire entendre vos revendications dans la rue et par la rue. Ridicule vous dirais-je.

Comment espérerez vous qu’on vous écoute dans la rue, quant on vous a tourné le dos a l’intérieure des quatre murs ?

On ne peut pas prétendre faire avancer un pays avec la peur dans le ventre. A chaque fois que l’opposition républicaine tire ses décisions, c’est le peuple qui en paye le prix, mais jamais eux.

Dorénavant, moi aussi, je suis de ceux qui croient que l’alternance  politique en 2015 est une nécessité, et que c’est bien faisable seulement si, on s’engage tous, à faire appliquer la loi, toute la loi, rien que la loi.

De toute les façons, la première démarche me semble fatale à tous, car a vous voir tâtonner, tout laisse à croire, qu’on vous fera partir demain de la même manière lorsque vous serez aux affaires, et c’est la Guinée encore qui en paiera le prix. Le véritable gage du pouvoir, est de se faire élire par la voix des urnes, et non par la rue, car qui règne par l’insurrection populaire, partira par l’insurrection populaire, et peu importe le bonheur que vous aurez procuré le peuple.   L’exemple sur Feu Colonel Mohammar El. Kadhafi l’ancien Guide Libyen, (que Dieu ait pitié de son âme), en dit mieux.

Chers Tous.

Sans vous manquer de respect, je tiens vivement à vous dire que, je n’écris que pour dire vrai. Car seule la vérité reste, et tout ce qui ne l’est pas, est honte. Et la honte a toujours tendance à se faufiler parmi les feuillages du jardin érigé par la vérité du peuple.

Avant de fermer ce témoignage, j’entends partage un certains nombres de stratégies dont j’estime que l’opposition républicaine, qui semble le plus dérangée par la gestion autoritaire, totalitaire, et exclusive, que le RPG Arc-en-ciel, fait boire au peuple de Guinée tout entier, aurait l’amabilité d’apprécier.

Mais je ne serais nullement surpris qu’on joue au sourds, quant a l’appelle formuler dans ce diagnostic, car si j’écris c’est pour contribuer du mieux que je peux, a l’édification d’une Guinée Démocratique, unie et prospère, et cela, personne ne pourra m’en empêcher, ceci étant un devoir de tous et envers tous.

Ces recommandations sont les suivantes :

Au lieu de faire descendre les pauvres et paisibles citoyens dans la rue pour se faire abattre comme des zombies, sans raison valable, il serait judicieux de revoir la stratégie qui semble erronée mais que tout de même l’opposition républicaine, tente et insiste d’appliquer.

 Faites une grève de la faim, a la place des manifestations qui n’épargnent personne et qui coutent chère aux paisibles populations de Guinée.

 Organiser des mouvements de boycotts contre tout ce qui relève des services publics.

 Débarrassez-vous de vos cartes d’électeurs, ceci vous permettra de voir une révision totale et claire du fichier électoral.

 Arrêtez de nous raconter que vous êtes pris en otage.

Ne voyez vous pas, que toute la ville, tout le pays est attaquée par ses propres forces de l’ordre et de sécurité ?

Comment font les enfants auxquels vous faites appels à venir manifester, pour se retrouver devant la gueule du crocodile ?

Il ne doit pas y avoir deux poids deux mesures, ou des arguments a géométrie variable, soit vous sortez rejoindre les manifestants qui ont répondu malgré tout a votre appelle, soit vous arrêtez les manifestations émaillées de violences a la magnitude du séisme Népalais.

Y en a marre d’aller au cimetière tous les jours.

 Sortez ! Quelque soit les conditions, comme c’est ce que vous avez choisi, même si vous serrez ligotés, malmenés, et/ou emprisonnés, cela fait parti du combat que vous vous êtes assigné ; au risque de voir les forces de l’ordre et de sécurité franchir le seuil de vos domiciles respectifs pour dormir dans vos salons somptueux. Rappelez-vous qu’au départ, l’interdiction visait a restreindre  le mouvement des opposants que vous êtes, dans la rue, mais le présent scenario, laisse a croire que vous n’êtes même plus autorisé à sortir la tête de chez vous, mais vous le cautionnez quant- même, parce que vous ne voulez pas faire un tour en prison, vous ne voulez plus encaisser les coups de matraques, comme ce fut accidentellement le cas du 28 septembre 2009 au stade du même nom sis dans la commune de Dixinn.

Où est passé l’honneur sur vos droits et libertés fondamentales, ou bien vous ne vous en foutez plus ?

Guinéennes et Guinéens.

Soit on est de simples individus dans un Etat a l’égard duquel nous sommes tous égaux en droits et devoirs, soit on est des citoyens convaincus et résolus à chasser, dans le respect des lois de la république, les mauvais esprits qui nous noircissent l’horizon.

Enfin, vous voudrez bien m’excuser pour le caractère improviser de ces lignes prises au hasard d’un temps difficile à trouver.

En attendant une réaction en provenance de Conakry, vous voudrez bien me dire de quel courant économique vous fondez vous, sur l’émission des grosses coupures de billets de banques qui ne va nullement dans le sens à rétablir la sante économique du pays. Pour l’heure, je m’inscris en faux sur les précédents arguments des cadres de la Banque centrale en République de Guinée (BCRG).

Cette lettre non exhaustive de trois milles quatre-vingt-treize  mots contenus dans sept pages ne représente qu’un cinquième des problèmes auxquels sont confrontés les Guinéens de toutes les Langues, de toutes les confréries religieuses, de tous les courants philosophiques, et de toutes les sensibilités politiques.

Et si je n’ai pas cité de noms c’est parce que j’estime que tout le monde se reconnaitra a travers ces lignes.

Ô ma belle Guinée ! aux populations aimables et accueillantes, aux montagnes qui apportent la fraicheur dans la nuit, aux forets denses qui dansent dans le silence et les secrets de la flore, aux rivières douces qui nourrissent les riverains, aux parfums de ta végétation exceptionnelle, toi qui m’a vu m’éloigner parce que forcé de fuir la misère, je garde l’espoir qu’un jour je te reviendrait joyeux et grand, grand pas de taille mais d’esprit, d’esprit citoyen, avec un amour inconditionnel, en témoignage de tous les coups que t’as bien pu porter, prêt a panser tes plaies, mais surtout prêt a t’aider a te tenir debout, comme une vraie Nation, une Nation qui ne tendra plus la main, une Nation qui ne laissera plus aucun la tripoter, une Nation qui fera la référence tant dans la sous-région qu’ailleurs.

Pour l’instant, laisse-moi te murmurer que seuls ton art, ta musique et ta culture, restent et demeurent vrais et authentiques.

Comment pourrais-je ne pas te dire encore une fois, que je t’aime de toute mon âme.

 Envie de te câliner, ma belle Guinée.

Je, le soussigné, certifie que les informations susmentionnées, sont vraies et authentiques, et suis en possession de toutes mes facultés mentales et physiques au moment où je les ai écrites.

Loin de se faire plaire, je crois fermement qu’un NON du fond du cœur, vaut mieux qu’un OUI consenti juste pour plaire ou pour éviter des ennemies. 

Que Dieu bénisse la Guinée. Amen ! Mes salutations respectueuses. Vendredi 8, jour du mois de Mai, de l’An 2015. Signé : Barry Mamadou Oury, depuis l’Inde profonde. Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Mes salutations respectueuses.